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Vous avez dit whisky ? Did you just say whisky ?

Vous avez dit whisky ? Did you just say whisky ?

S’il y a une semaine, je ne m’étais pas rendu à ce joli dîner orchestré par The Glenlivet, j’aurais sans doute commencé cet article par dire « je n’aime pas le whisky, et ce, avec ou sans glaçon ».

 

Parce que je lui reproche d’avoir ce goût beaucoup trop intense et que je préfère la légèreté des cocktails et la subtilité du vin et du champagne. Que je me suis souvent demandé -lors des réunions de famille- pourquoi est-ce que mon père et mes oncles pouvaient autant l’apprécier ?

J’ai fini par me convaincre que cette eau-de-vie n’était destinée qu’à des univers beaucoup « trop sérieux » du type hommes d’affaires #MonPapa. Puis qui sait ? Peut-être qu’un jour, je serai un businessman #Fashion, grand appréciateur de sky 
En tout cas, ce soir-là, rue bleue. Dans un bel appartement du XIXème arrondissement, j’avais rendez-vous avec la surprise. 
Accueillie par la jolie Laura, ambassadrice de la marque, elle m’apprend en me servant un cocktail de bienvenue que cette soirée est placée sous le signe de la découvre. Une exploration des saveurs qui se présentait sous la forme d’une bouteille au laquage noir et répondait au nom de Cipher. Sans mention d’âge, ni de note de dégustation, c’est la dernière création originale de The Glenlivet, un Single Malt qui résonne comme un mystère tout droit venu d’Écosse.
Je remarque sur une table en longueur une multitude de bocaux étiquetés, contenant des fruits, du caramel, du chocolat au gingembre ou de la vanille… À la vue du hashtag #InsideTheBottle, je comprends que c’est une invitation au jeu et à l’éveil des sens. C’est l’heure de la dégustation.
Un chef australien nous a préparé un bel assortiment d’amuse-bouche et de plats en accord avec le whisky. Je commence par un verre de single malt. J’observe, je sens, je goûte. Ce n’est pas si fort, ça a même un côté doux. Laura me propose d’y ajouter « un peu d’eau » pour libérer les arômes. J’accepte, je re-goûte, je redécouvre.
Quelques verres plus tard, je saisis la subtilité des arômes, l’importance de la vue, de l’odorat et du goût dans cet art de la dégustation. Tout est intimement lié, telle une corde invisible rattachant les senteurs aux souvenirs d’enfance presque oubliés. 
Amusé, je repense aux fêtes de famille, à mes pères pris dans des discussions animées leurs verres de pure malt à la main. La prochaine fois, je me joindrai à eux, mêlant joyeusement ma connaissance du whisky. Et le plus beau dans tout ça, c’est que maintenant, je pourrai faire de super cocktails avec The Glenlivet. Merci Laura !

 If I hadn’t gone a week ago to this wonderful dinner organized by The Glenlivet, I would have begun this article by saying « I don’t like whisky, with or without ice cubes ». 

Because for me, whisky has a taste so strong for me and I prefer the lightness of cocktails and the subtlety of wine and champagne. I also used to ask myself – during family reunions – why my dad and my uncles could like it ?

By the end, I convinced myself that this brandy was created just for « too serious » universes such as businessmen #MyDad. And maybe one day, I will perhaps be a #Fashion businessman and assessor of whisky…
Anyway, that night on the « Rue Bleue ». In a nice apartment of the 19th neighborhood of Paris, I had an appointment with surprise.
Greeted by the pretty Laura, brand ambassador, she explained to me while serving me a welcoming cocktail that this night would be full of discoveries. An exploration of flavours under the form of a bottle of black lacquering and named Cipher. No age statement, no tasting note: this is the newest creation of The Glenvilet, a single malt whisky that sounds like a mystery coming from Scotland.
I noticed on a long table a variety of labelled jars, with fruits, caramel, ginger-flavored chocolate, or vanilla… As I saw the hashtag #InsideTheBottle, I understood that we were invited to play with our senses. It’s time for tasting.
An Australian chef prepared a beautiful selection of appertizers and courses pairing with whisky. I started with a glass of single malt. I observed, I smelled, I tasted. It’s not that strong, on the contrary it had a sweet taste. Laura suggested to add « a little bit of water » to release the aromas. I accepted, I re-tasted, I rediscovered.
A few drinks later, I got the subtlety of aromas, the significance of sight, smell and taste in this art of tasting. Everything is closely tied, like an invisible rope mixing scents with almost forgotten childhood memories.
I remembered family parties and my fathers vigourously discussing with a glass of pure malt in their hands. Next time, I will join them and show them my newest knowledge of whisky. And the best of all? I learned to create great cocktails with The Glenvilet. Thanks Laura!
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