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Plus jamais!

Plus jamais!

fb3Sans aucun scrupule…

Certaines personnes n’hésitent pas à s’inventer une vie sur Facebook et se mettent à créer un faux compte voire même plusieurs. Bref sur le net, c’est tout ce qu’il y a de plus facile à entreprendre : avec des photos volées par-ci et des statuts outranciers par-là. Certains commentaires sont d’ailleurs dignes de la presse à scandale britannique.

Tout ça pour mieux assouvir leur vice rédhibitoire.

Sur internet, on peut tout voir, littéralement. Il suffit de taper quelques mots sur un moteur de recherche pour qu’à la seconde même (enfin cela dépend aussi de votre débit de connexion), on voit défiler toute une liste de site relatif à ce que vous pouvez chercher. Puis, si on regarde les réseaux sociaux c’est pareil. À la différence que la liste des sites est ici remplacée par des profils, des pages ou des communautés. Par exemple sur Facebook, on trouve du marginal en voie de disparition en passant par l’illuminé qui a pondu la phrase du jour.

Au début, je ne voulais pas me dévoiler. Je ne voulais pas qu’on connaisse ni mon nom et encore moins qu’on découvre mon visage. D’ailleurs, quand j’ai créé ma page Facebook, j’avais utilisé une image de substitution pour garder l’anonymat, un avatar entre autre.

C’était amusant, les gens ignoraient qui j’étais et ça m’avantageais. S’ils voulaient m’attaquer mes propos ou moi, c’était un peu stupide, car c’était comme s’ils s’en prenaient au vent ou à un fantôme… Ces derniers sont invisibles donc quelque part, inatteignables. Et il faut dire que cela m’arrangeait bien. Je n’avais nullement l’envie et la force de me confronter à cette espèce de procès de Salem. En vérité, au fond, j’avais peur. Tout simplement.

Car quand on est derrière un écran, on se sent plus en sécurité et forcément plus libre de s’exprimer par exemple. Sauf que les plus éhontés d’entre nous préfèrent se livrer à des actes malveillants, proches de l’abomination, si ce n’est d’ailleurs pas déjà le cas. Ils provoquent, incendient, offensent et blessent librement ceux qui, a contrario, essayent de bien faire et même ceux qui n’ont rien fait.

Capture d’écran 2014-10-21 à 00.59.45Ainsi, ils usent diaboliquement des représailles sans fondements, des critiques violentes, gratuites et acides qui malheureusement réussissent parfois à détruire des vies innocentes et à briser des familles. Combien de fois ai-je vu paraître dans mon fil d’actu un lien vers un article ayant comme titre « Une ado s’est suicidée à cause des insultes sur son mur… ». Un peu trop à mon goût. Le comble dans ces tragédies 2.0, c’est que bien souvent, les auteurs de ces affronts (parce qu’il faut être plusieurs pour réussir à persécuter ainsi), sont ni plus ni moins que des camarades de classes.

Depuis quand un site qui avait pour origines le contact, la publication et le partage de contenu, est devenu une véritable arme meurtrière ?

La plupart des gens, se rendent-ils seulement compte que leurs paroles et leurs actions peuvent avoir un effet réel, notoire ou dévastateur sur les autres ? Je l’espère, car sans conscience, on n’a pas d’humanité.

Cette humanité, moi, je la retrouve partout, au quotidien. Au travers des personnes qui m’entourent, au détour des rencontres que je fais mais également au travers de la beauté infinie qu’offre ce monde.

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Dans nos vies, il y aura toujours de terribles évènements pour nous déstabiliser, des êtres malfaisants pour nous attaquer ou nous rabaisser jusqu’à faire en sorte qu’on perde pied. Il ne faut pas se laisser happer par ces flots. Mais, il y aura aussi toujours une bonne raison pour nous faire relever si l’on tombe.

Cette raison, c’est à nous de la trouver, et de s’y accrocher comme si l’on devait accrocher son chariot à une étoile.

Moi, j’ai tout simplement décidé de commencer par faire ce que j’aime, ce qui me tient à coeur. À savoir, écrire et parler de ce qui me plait vraiment : la mode, l’art de vivre, la cuisine, les voyages et bien d’autres encore. Ensuite, d’arrêter de me soucier de ce que pourraient penser les autres de moi, de ne plus accorder d’importance aux ondes négatives qui pourraient m’empêcher d’avancer. Tant qu’il y aura des gens qui apprécieront ce que je fais, tant que je recevrais un peu d’amour, je survivrai. Du reste, c’est décidé, je m’en fous. Après tout, nous n’avons qu’une vie et elle est courte. Ça sera vraiment dommage de la gâcher en étant malheureux. Vous n’êtes pas d’accord ?

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